vendredi 30 mai 2014

Belleville

Il fait un temps parfait.

On cherche les triplettes! (Et on fait plaisir à tatie Renée qui aime bien Belleville. Ça achève le gardiennage de Pinso, pour tatie Renée et tonton Dave.)

Nous sommes dans le quartier Belleville, et au grand plaisir de Jean qui disait s'y reconnaître, pendant que je l'obstinais, nous avons prouvé, grâce aux photos, que Jean avait raison. Fichues photos, ça m'apprendra!

- Crisse! S'est exlamé Jean qui ne sacre jamais! Que je suis content! (Je le comprends, le cher homme, j'ai presque toujours raison;-))

Du coup deux jeunes Québécois dans la vingtaine nous ont repérés. On a fait jasette. Ils se cherchaient une activité du jour. Je les ai envoyés voir Van Gogh à Orsay.

Donc, en début du mois, j'ai écrit sur une petite partie de ce secteur, : Journée bien remplie, article du 7 mai 2014, trois jours après notre arrivée.

En ce moment nous sommes dans le Parc de Belleville dont on dit qu'il est un des plus beaux de Paris. (Ils n'ont pas tort.) Jean, étendu sur un banc à côté de moi, pique un roupillon. Il a besoin d'évacuer l'effet de la petite pilule qu'il a prise hier soir pour passer une bonne nuit près de sa ronfleuse.

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Il est 23 heures. La journée est terminée, mais je poursuis mon récit.

Et voilà. Mon homme s'est réveillé frais et dispos. Du parc de Belleville, alors que nous avions déjà déambulé pas mal, nous sommes descendus à pied jusqu'à la Sorbonne où nous avions rendez-vous avec Martin. On a de nouveau marché vers un excellent petit restaurant italien, POSITANO. Ensuite, nous avons reconduit Martin vers un métro et sommes rentrés chez nous toujours sur nos pattes en longeant tout le boulevard Montparnasse. Vous suivez?

Et demain, puisqu'ils annoncent du beau temps, on recommence les activités extérieures. Alors voilà, je vous garroche comme ça, tout cru, mes photos de ce merveilleux vendredi.

Graffitis sur camions

 

Parc de Belleville

Vous voyez la Tour Eiffel au loin. Nous nous y sommes rendus à pied, et pas en ligne droite.

Avant la bataille.

 

À la Maison de l'Air, tout en haut du belvédère, dans le parc de Belleville.

 

Détail des mosaïques de la Maison de l'Air.

 

Jean évalue la distance pour le retour.

Au delà de la Tour Eiffel, à droite, c'est chez nous.

 

Il y a des pièces en relief dans la mosaïque.

Cet homme noir avait une sorte de grande jupe blanche et un beau visage.

Ma sœur m'a demandé si les rosiers sont en fleurs. Elle est déjà venue ici.

Une image vaut mille mots.


On quitte le parc et c'est la longue marche à travers des quartiers très très différents jusqu'à la Sorbonne.

 

On ne voit pas le temps passer. Mais on cherche le meilleur endroit pour prendre le pastis de 5 heures.

Non, pas ici finalement.

On traverse la Seine. Il est 18h30. J'adore cette heure du jour et cette lumière.

 

 

Le magasin général, je suppose.

 

Le Louvres au loin.

Nous avons trouvé Martin au lieu prévu, et bien mangé. Une charmante et précieuse soirée, avec de beaux échanges.

Personne n'a compté de buts, mais les joueurs ont lancé quelques rondelles. C'était drôle.

 

En route vers chez nous le soir.

Nous sommes sur le boulevard Montparnasse. Il y a encore beaucoup de douceur dans l'air. Enfin!

2 commentaires:

  1. Le parc de Belleville, c'est à Montmartre on dirait, je me trompe ? Les rosiers sont magnifiques. On sait qu'on marche toujours beaucoup à Paris mais vu comme ça, la distance est assez impressionnant. Toi et ton petit rhume avez dû en prendre plein le dez. Hihi!

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  2. Lors de notre dernier séjour, nous avions nous aussi visité et arpenté le parc de Belleville ainsi que la Maison de l'Air et son belvédère. Les hauteurs de Paris, qu'ils disent, ce qui fait sourire un peu les Montréalais. Le Photographe s'en était donné à coeur joie pendant que j'admirais les jolies mosaïques.

    Je n'avais jamais vu rien de comparable au magasin général, je dois dire.

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